MOTTOLA / DIJON

2 juin, c'est le grand départ, cadeau du propriétaire (2 bouteilles de vin local fabrication maison et un gros paquet contenant de délicieux petit gâteaux locaux), il nous emmènera même en voiture au garage pour récupérer notre camping car. En arrivant devant le garage nous avons droit au comité d'accueil: le garagiste, sont frère et un copain nous servant d'interprète (c'est lui qui pendant ces 10 jours est venu nous aider chaque fois que c'était nécessaire), nous sommes touchés par la gentillesse et la délicatesse de tout ce petit monde.

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C'est un peu avant Bari, que nous déjeunerons au bord de la mer avant de rejoindre quelques Kms plus loin l'aire Camper de Bisceglie que nous avions découvert lors de notre descente.

3 juin, Nous allons faire un petit saut en partant pour voir le Dolmen à la sortie de la ville et continuons tout doucement (rodage oblige) notre route jusqu'à Troia. Après une brève visite dans la ville et quelques photos de la façade du Dôme, nous déjeunons sur la magnifique aire communale (à quelques centaines de mètres du centre) et reprenons la route en direction de Lucera. Nous ne visiterons pas cette ville où un imposant château domine la campagne avoisinante, en effet la chaleur est étouffante et nous préférons rejoindre le bord de mer à Termoli. Nous trouvons une aire camper bien aménagée et trouvons une place face à la mer parmi les nombreux camping cars italiens venus passer ce week-end de fête.

4 juin, Aujourd'hui une grande étape nous attend, près de 500 km, en effet, nous ne souhaitons pas nous arrêter dans la zone de tremblement de terre de ces derniers jours. C'est au bord du lac majeur que nous nous arrêtons dans un camping ASCI avec une vue superbe sur le lac (l'aire camper programmée étant une fois de plus inexistante).

5 juin, c'est avec un peu d'inquiétude que nous allons franchir le col du Simplon à 2000 m d'altitude avec notre camping-car en rodage. Ouf, tout ce passe bien, c'est plutôt à la descente que je suis obligé d'utiliser les freins car le régime moteur s'accélère très vite (et dépasse les 2500 T/mn conseillés), ce qui a pour effet un échauffement des plaquettes en arrivant en bas.

6 juin, après une petite étape (visite surprise à notre fils) à Lucens (Suisse) nous rejoignons la France et traversons la Franche Comté pour arriver à Dijon par un orage dantesque.

 

 

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